Le Collectif pour une France accessible regrette « la complaisance » du gouvernement, qui ne sanctionne pas les contrevenants à la réglementation sur l'accessibilité.
Selon le Collectif pour une France accessible, les chiffres avancés par Marie-Prost Coletta dans un entretien accordé à Faire Face, mi-novembre, ne sont pas conformes à la réalité. Pour ces associations, au moins 40 % des établissements recevant du public sont aujourd’hui « dans l’illégalité » car sans Agenda d’accessibilité programmée (Ad’ap).
Pour lire la note entièrement de Franck Seuret, de Faire Face,
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