Dans certaines épreuves des Jeux paralympiques, être compétitif implique d’être équipé de prothèses ou de fauteuils très coûteux. Les athlètes des pays moins riches se tournent vers des disciplines où l’importance des aides techniques s’avère moindre.
Tous les sprinteurs ne luttent pas à lames égales… À 10 000 € la prothèse high-tech, de nombreux athlètes amputés n’ont pas les moyens d’entrer dans la course. Ceux des pays les moins développés, notamment.
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