« Citoyen diminué de corps mais pas de droits. »
Celui qui a été directeur de l’Historial de la Grande guerre à Péronne, dans la Somme, dont Faire Face a proposé le portrait en février 2011 n 694 et plus récemment chroniqué deux ouvrages, proteste. « Qu’on invoque une certaine souplesse dans le régime des sanctions, pourquoi pas. Qu’on repousse d’une ou deux années, passe encore. Mais qu’on se donne la possibilité de faire du cas par cas pour faire au mieux des intérêts d’on ne sait qui, c’est inacceptable », martèle Guillaume de Fonclare.
Pour lire la note entièrement de Valérie Di Chiappari de Faire Face,
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