La Cour des comptes fustige « les faiblesses de la politique de prévention » des accidents du travail et des maladies professionnelles, menée par le régime général de Sécurité sociale, dans son rapport annuel, rendu public le 12 février. Les magistrats regrettent d’abord que la Sécu ne prenne pas en compte le « coût du risque » pour déterminer ses priorités d’action (les maladies professionnelles ne représentent ainsi que 6 % des reconnaissances mais 33 % des dépenses).
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