Cahors. «Le Téléthon, c'est l'espoir»

Emmanuel Spirkel espère une belle fête ce week-end pour le Téléthon./Photo DDM A.L.

l'invité de la semaine : Emmanuel Spirkel

Emmanuel Spirkel espère une belle fête ce week-end pour le Téléthon.

/Photo DDM A.L.


Vendredi et samedi, de nombreuses communes du Lot seront mobilisées pour un nouveau Téléthon. Ce rendez-vous solidaire et populaire redonne chaque année de l’espoir aux malades. Une belle fête pour une bonne cause. Emmanuel Spirkel s’y investit.


Originaire de la Nièvre, Emmanuel Spirkel est arrivé en 2006 dans le Lot. Salarié d’une société informatique à Figeac, le dynamique quadragénaire a trouvé son équilibre. Aujourd’hui même si sa myopathie progresse, il réaffirme son engagement pour le Téléthon.


De quoi souffrez-vous exactement ?

 

J’ai une myopathie de Becker. Ce sont les mêmes symptômes que la myopathie de Duchenne. Suite à un effort à vélo, je ne pouvais plus marcher. Je suis allé aux urgences. On ne savait pas ce que j’avais. Certains disaient que j’étais fainéant. J’ai été à l’hôpital à Paris pendant un an. On m’a annoncé la maladie quand j’avais 11 ans. Elle avait été découverte juste avant, en 1982. On m’a dit qu’à 20 ans je serais en fauteuil et que je ne pourrais plus bouger, me laver… Là c’est vrai que ça fout un coup.


Pour voir l'article complet d'Audrey Lecomte de Ladépèche.fr cliquer ici

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