C’est une première : des chercheurs de l’Inserm ont mis en évidence un facteur de risque génétique occasionnant un accident vasculaire cérébral.
Et si le risque de survenue d’un AVC était en partie lié aux petites variations au sein de notre génome ? Telle est l’hypothèse qu’une épidémiologiste au Centre de recherche Bordeaux Population Health Research, Stéphanie Debette et son équipe de l’unité Inserm “Épidémiologie intégrative et génétique du vieillissement cérébral et vasculaire” ont cherché a vérifié
Pour lire la note entièrement d' Élise Jeanne de Faire Face,