« Je me serre la ceinture pour pouvoir m’occuper de ma santé. »

 
Alexandre Bernal : « Je calcule en fonction de l'urgence : il y a des soins qu'on peut faire un petit peu plus tard parce que ce n'est pas vital ; et d'autres où c'est vital et on est obligé. » © Franck Seuret
 
PRÉSIDENTIELLE 2017. Alexandre Bernal doit faire face à d’importants restes à charge sur ses dépenses de santé. Cet allocataire de l’AAH est donc obligé de décaler certains soins. Comme de nombreux autres Français disposant de faibles ressources.
 
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