Handicap : quand une famille sur deux n’ose pas solliciter un centre de loisirs

 
Selon l'enquête, quatre mères sur dix disent avoir cessé de travailler après la naissance de leur enfant handicapé.

Autocensure au point de ne pas solliciter les centres de loisirs. Mise entre parenthèses massive de la vie professionnelle. Des mères en particulier, à la naissance d’un enfant handicapé. Voilà les premiers enseignements de l’enquête de la Mission nationale accueils de loisirs et handicap. Des mesures concrètes sont attendues d’ici la fin de l’année.

La moitié des quelque 6 500 familles interrogées n’a jamais fait de demande d’accueil à un centre de loisirs pour son enfant handicapé. En raison, tout particulièrement, d’une forme d’autocensure. Dans 41 % des cas, par crainte de confier le petit à une équipe qui ne serait pas formée au handicap. Pourtant, 84 % des familles qui y mettent le leur sont satisfaites de l’accueil qui lui est réservé.

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