Association à but non lucratif oeuvrant pour les droits des personnes en situation de handicap
Alors que 26 départements étaient en alerte canicule à partir de mardi après-midi 30 juin, à Cahors dans le Lot, 39 degrés étaient attendus. Les personnes qui travaillent sur les chantiers, dans des pressings ou encore derrière les fourneaux, ont dû redoubler de motivation pour rester actif malgré la chaleur.
«Meurtre à Rocamadour» : le téléfilm le samedi 3 mai sur France 3
Le thriller a été tourné en novembre dernier dans le Lot.
Le téléfilm intitulé «Meurtre à Rocamadour» est diffusé samedi 3 mai sur France 3, en première partie de soirée, à 20 h 45. La cité mariale, mais pas seulement, a servi de décor à cette intrigue policière dans laquelle le rôle principal est tenu par l'actrice Clémentine Célarié.
Le film réalisé par Lionel Bailliu puise dans l'histoire de Rocamadour une atmosphère, un mystère qui sert le scénario. Clémentine Célarié interprète une enquêtrice qui hérite d'un dossier avant la retraite. Techniciens, acteurs et figurants ont tourné pendant une semaine à Rocamadour, mais aussi dans la vallée de la Dordogne, du côté de Montvalent et du pont de Gluges, et dans le gouffre de Padirac. Des séquences ont également été filmées à Cahors devant le Palais de justice.
À noter que les pompiers plongeurs du SDIS 46 figurent dans le casting : ils ont récupéré un véhicule tombé dans la Dordogne, pour les besoins du film. Le département sera, donc, en toile de fond de ce téléfilm policier. De quoi aiguiser la curiosité et l'intérêt des téléspectateurs lotois.
La question de la régulation des soins se pose souvent de nuit/Photo DDM, archives.
Des négociations sont en cours entre l’Agence régionale de santé et les médecins pour la permanence des soins dans le Lot. Sera-t-elle départementalisée, assurée dans les cabinets des généralistes ou sur le site des urgences de l’hôpital cadurcien ?
Comment garantir à tous les citoyens une permanence des soins, nuit, week-end et jours fériés compris ? Cette question, essentielle, est au cœur de discussions en cours, depuis de nombreuses semaines. Deux visions des choses s’affrontent, en coulisses. Celles de l’Agence régionale de santé (ARS) et celle des médecins libéraux.
Il faut savoir qu’aujourd’hui, quand on appelle son médecin, quand celui-ci n’est pas présent, l’appel est régulé par l’Armel ( Association de régulation des médecins libéraux), la carence de médecins régulateurs libéraux spécialistes étant une réalité. Une régulation régionale que l’ARS souhaite départementalisée, notamment en raison du coût de l’Armel, jugé trop onéreux, en ce temps des restrictions budgétaires. Pourquoi pas répondent les médecins libéraux mais pas à n’importe quelles conditions. Le docteur Jean-Bernard Solignac, qui exerce à Cahors, a monté, l’association des médecins libéraux du Lot : «Environ 90 % des 150 médecins généralistes lotois font de la régulation dans le Lot, explique le généraliste cadurcien. Nous souhaitons pouvoir réguler depuis notre cabinet médical, ce qui se pratique déjà ailleurs. On ne veut pas qu’on oblige un médecin de Saint-Céré, Latronquière ou Sousceyrac à faire de la régulation à Cahors.». Elu au sein de l’URPS (Union régionale des professionnels de santé), le docteur Olivier Darreye, généraliste à Vayrac, évoque la demande forte de son organisation : «Nous demandons que tous les appels soient régulés par un médecin libéral. Nous ne voulons pas qu’en absence de régulateur libéral, le seul régulateur soit celui du Samu. Ils n’ont pas l’habitude de la régulation et risquent de renvoyer tout le monde aux urgences».
Dans le Lot.
Au cœur du quart sud-ouest de la France, ce territoire mêle nature et culture dans des paysages contrastés, baignés par des eaux millénaires. Quid de l'accessibilité de ces hauts-lieux aux touristes handicapés ? Éléments de réponse.
Pour visualiser le très bon article de Jacques Vernes de Yanous.com, cliquez ici