Chaque année en France, 100 à 150 000 personnes sont victimes d’un traumatisme crânien, causé le plus souvent par un accident de la circulation et de la voie publique.
Pour une sur cinq, cette commotion cérébrale sera qualifiée de modérée ou grave, entraînant de graves séquelles cognitives et comportementales.
Des déficits qui, bien qu’invisibles, constituent autant d’obstacles à la réinsertion sociale et/ou professionnelle et au maintien de l'équilibre affectif de ces adultes et n’épargnent pas, bien au contraire, les enfants et les adolescents.