aide humaine

  • PCH aide humaine : un parcours balisé à maîtriser

    Magazine, Faire Face

    Magazine Faire Face mai/juin 2016 (N°743)

     

    Chaque mois, les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) traitent des centaines voire des milliers de demandes de prestation de compensation du handicap (PCH). Pourquoi un dossier sur le volet aide humaine de cette prestation ? Pour vous éviter un parcours administratif parfois trop standardisé en vous informant au plus près de vos droits, en pointant les règles à connaître et les pièges à éviter. Plus vous aurez détaillé vos besoins, en fonction de votre projet de vie, plus vous aurez de chances de vous voir attribuer une PCH vous permettant de le mener à bien. Savez-vous par exemple comment gérer la répartition de vos heures en fonction des surcoûts et des imprévus ? Une question et bien d’autres auxquelles ce dossier répond.

     

    Pour lire la note entièrement de Valérie Di Chiappari de Faire Face, 

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  • Menaces sur les personnes en situation de handicap employant une aide humaine !

    Le Comité d’Entente vient d’interpeller en urgence Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes et Myriam El Khomri, ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.

     

    En effet, la rémunération d’une catégorie d’aides humaines doit être revue à la hausse, ce qui risque d’augmenter fortement les restes à charge des personnes en situation de handicap employeurs de celles-ci. Restes à charge déjà existants et lourds pour une partie d’entre elles.

     

    A défaut, la situation financière des personnes handicapées serait encore davantage fragilisée.

     

    Le Comité d’Entente demande donc aux ministres concernées un rendez-vous d’urgence pour éviter une dégradation majeure des conditions de vie de personnes en situation de handicap.

     

    Pour lire les courriers adressés aux ministres, cliquez ici et ici

     

    Source : http://www.reflexe-handicap.org

  • Aide humaine : des tarifs PCH très variables

    Aide humaine : des tarifs PCH très variables
     
    La moitié des conseils départementaux appliquent un tarif PCH maximum inférieur à 22,50 € de l’heure d'aide humaine alors que le coût de revient d'une heure de prestataire s'élève à 23/ 24 €. © CD Val-de-Marne
     
    Plus de trois départements sur quatre appliquent des tarifs de prestation de compensation du handicap (PCH) différenciés selon les services prestataires d’aide humaine. Mais ils sont très souvent inférieurs au coût de revient.
     
    Pour lire la note entièrement de Franck Seuret, de Faire Face,

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    HANDÉO'SCOPE - Baromètre thématique n°1 / Janvier 2016

  • Aide humaine et handicap : un uppercut à l’emploi direct

    Aide humaine et handicap : un uppercut à l’emploi direct
     
    Le nombre de personnes en situation de handicap employant des tierces personnes en gré à gré a chuté de 12,7% entre 2004 et 2014.
     
     Le nombre de personnes en situation de handicap employant des tierces personnes en direct n’a jamais été aussi bas, depuis dix ans, selon le baromètre de la Fepem. En cause, les tarifs trop bas de la PCH aide humaine. Pourtant, le gré à gré constitue un modèle valorisant pour les personnes handicapées y ayant recours, selon une récente étude.
     
     Pour lire la note entièrement de Franck Seuret, de Faire Face,

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    Fédération des particuliers employeurs de France (Fepem)

  • Prestation de compensation du handicap

    Un rapport officiel propose de renforcer les contrôles


    Le rapport sur l'évaluation de la prestation de compensation du handicap (PCH), qui vient d'être rendu public, comprend 50 recommandations. Un certain nombre des préconisations de l'Inspection générale des affaires sociales et de l'Inspection générale de l'administration visent à durcir les procédures : soumettre l'ACTP à un contrôle d'effectivité, aujourd'hui inexistant, pour « vérifier au moins la présence effective et la disponibilité de la tierce personne désignée » ; recourir davantage au CESU préfinancé pour l'emploi de gré à gré et permettre au Conseil général d'imposer aux nouveaux bénéficiaires un mode de paiement (CESU ou paiement direct par le conseil général pour l'aidant familial ou pour le prestataire), alors qu'aujourd'hui le bénéficiaire peut demander à percevoir l'argent avec lequel il paiera lui-même ses aidants ; ou bien encore multiplier « les contrôles sur place » pour vérifier la bonne utilisation de PCH.


    Améliorer le fonctionnement des fonds départementaux de compensation


    Les inspecteurs proposent également d'étudier la suppression de la partie forfaitaire du volet aide humaine de la PCH (1,44 à 2,88€ par jour) versée aux résidents d'établissements (3 000 bénéficiaires maximum aujourd'hui), car elle constitue « un simple complément de ressources ».


    Par ailleurs, ils recommandent de supprimer la limite d'âge actuellement fixée à 75 ans pour demander la PCH pour les personnes qui y étaient éligibles avant 60 ans. Ils suggèrent également plusieurs pistes pour améliorer le fonctionnement des fonds départementaux de compensation (FDC) : mettre en place un système d'avances au profit des bénéficiaires, pour leur éviter d'avoir à différer leurs dépenses urgentes ; ne pas restreindre l'accès aux FDC aux seuls bénéficiaires de la PCH, etc.


    Source : FAIRE FACE