L'objectif du projet est de developper un simulateur dynamique pour l'accessibilité d'environnement et l'entraînement à l'utilisation de fauteuils roulants
Nouvelle interface utilisateur. Celle-ci est beaucoup plus conviviale et fonctionnelle.
Association à but non lucratif oeuvrant pour les droits des personnes en situation de handicap
L'objectif du projet est de developper un simulateur dynamique pour l'accessibilité d'environnement et l'entraînement à l'utilisation de fauteuils roulants
Nouvelle interface utilisateur. Celle-ci est beaucoup plus conviviale et fonctionnelle.
Un rapport officiel propose de renforcer les contrôles
Le rapport sur l'évaluation de la prestation de compensation du handicap (PCH), qui vient d'être rendu public, comprend 50 recommandations. Un certain nombre des préconisations de l'Inspection générale des affaires sociales et de l'Inspection générale de l'administration visent à durcir les procédures : soumettre l'ACTP à un contrôle d'effectivité, aujourd'hui inexistant, pour « vérifier au moins la présence effective et la disponibilité de la tierce personne désignée » ; recourir davantage au CESU préfinancé pour l'emploi de gré à gré et permettre au Conseil général d'imposer aux nouveaux bénéficiaires un mode de paiement (CESU ou paiement direct par le conseil général pour l'aidant familial ou pour le prestataire), alors qu'aujourd'hui le bénéficiaire peut demander à percevoir l'argent avec lequel il paiera lui-même ses aidants ; ou bien encore multiplier « les contrôles sur place » pour vérifier la bonne utilisation de PCH.
Améliorer le fonctionnement des fonds départementaux de compensation
Les inspecteurs proposent également d'étudier la suppression de la partie forfaitaire du volet aide humaine de la PCH (1,44 à 2,88€ par jour) versée aux résidents d'établissements (3 000 bénéficiaires maximum aujourd'hui), car elle constitue « un simple complément de ressources ».
Par ailleurs, ils recommandent de supprimer la limite d'âge actuellement fixée à 75 ans pour demander la PCH pour les personnes qui y étaient éligibles avant 60 ans. Ils suggèrent également plusieurs pistes pour améliorer le fonctionnement des fonds départementaux de compensation (FDC) : mettre en place un système d'avances au profit des bénéficiaires, pour leur éviter d'avoir à différer leurs dépenses urgentes ; ne pas restreindre l'accès aux FDC aux seuls bénéficiaires de la PCH, etc.
Source : FAIRE FACE
Le mémento du maire relatif à l'accessibilité des personnes handicapées peut être librement téléchargé. Il est une base de connaissance essentielle et primordiale qui permet de respecter les obligations des communes et mairies en matière d'accessibilité au bénéfice des personnes moins valides.
Ce mémento du maire relatif à l'accessibilité des personnes handicapées dans la commune comprend 17 pages, au sommaire vous y trouverez des thématiques essentielles comme :
- Les principes d'application de l'accessibilité
- Les acteurs de la ville et de la construction
- Votre commune est-elle accessible ?
- Fiches pratiques illustrées
- Les procédures
- Les dérogations et mesures de substitution
- Les financements possibles
Avec la Fédération Française du Bâtiment, le Conseil national handicap a donc décidé de rédiger et de diffuser aux petites et communes de taille moyenne ce livret intitulé » Le mémento du maire pour l'accessibilité « . Celui-ci est destiné à les aider dans cette entreprise, à simplifier leur méthode, à réussir leur accessibilité.
Vous pourrez donc trouver en libre téléchargement dans notre forum ce mémento de l'accessibilité sous format PDF de 3.96 Mo
Les maires sont les premiers concernés par l'accessibilité de leur commune aux personnes handicapées. Ce guide dans sa version 2011 est donc la référence obligatoire qui facilitera l'insertion des personnes handicapées dans la vie sociale de leur arrondissement.
Article de Philippe Steinier
Source : Handimobility
C'est désormais au tour du Centre d'analyse stratégique de demander l'assouplissement du volet accessibilité de la loi de février 2005. Dans son rapport sur l'adaptation du parc de logements au vieillissement et à la dépendance, rendu public aujourd'hui, cette institution d'expertise et d'aide à la décision placée auprès du Premier ministre propose de « maintenir sur le flux des logements neufs de fortes obligations pour les parties communes (notamment présence d'un ascenseur, accessibilité) pour permettre l'adaptation ultérieure des habitations, mais n'imposer de produire des logements adaptés que pour un pourcentage approprié des programmes de construction ». C'est pour la bonne cause, plaide le CAS : « les marges dégagées par les acteurs de la construction grâce à cet allongement des normes pourraient être reversées à l'Agence nationale de l'habitat, sous la forme d'une contribution de solidarité, afin de financer l'effort » d'adaptation du parc de logements existant aux besoins des personnes âgées.
Déshabiller Paul pour habiller Jacques
La préoccupation des auteurs de ce rapport est en effet de développer l'aménagement du logement des seniors, pour leur permettre de rester à domicile le plus longtemps possible. Or, notent-ils, les contraintes normatives concernant le stock de logements sont « pratiquement inexistantes » et les aides financières restreintes. A contrario, les obligations légales de mise en accessibilité pour les logements neufs sont « nombreuses en France ».
La loi de février 2005 stipule en effet que tous les logements des bâtiments d'habitation collectifs doivent être accessibles, ou à tout le moins facilement adaptables, à une personne en fauteuil roulant. Ces normes « ont un coût direct important (...) : entre 5,5 % et 6 % de renchérissement », note le CAS. D'où sa proposition, « dans un contexte de finances publiques contraintes », d'assouplir la loi, en n'imposant plus qu'un pourcentage de logements adaptés dans les programmes neufs, afin de dégager des moyens pour financer l'adaptation du parc existant. C'est ce qu'on appelle déshabiller Paul pour habiller Jacques. Sans garantie de succès, ni vision à long terme : les logements neufs d'aujourd'hui, accessibles à tous, n'auront pas besoin d'être aménagés demain...
Source : APF FAIRE FACE
Le 8 octobre avait lieu à Cahors et dans 23 autres grandes villes de France la journée de l'accessibilité, afin de recenser les lieux ouverts au public à mobilité réduite et communiquer avec les responsables de ces lieux.
Partenariat National :
Organisées en partenariat national avec l'APF (l'Association de Paralysés de France), et l'association jaccede.com, cette journée à eu lieu le 8 octobre 2011 et a permis de recenser 2645 sites nouveaux dans toute la France, grâce à la collaboration de 1500 participants bénévoles handicapés et valides.
Cahors, un constat mitigé :
Si 150 lieux sur Cahors sont déjà recensés sur le site internet de jaccede.com , de nombreux endroits restent et demeurent inaccessibles pour le grand public à mobilité réduite (personnes âgées, parents avec une poussette, personnes en situation de handicap, accidentés temporaires...). Les cinémas par exemple, présentent un accès impossible ou difficile, à cause des marches à l'entrée, ils ne possèdent pas de WC adaptés et toutes les salles ne sont pas accessibles au regard de la législation. De nombreux commerces ont une marche à l'entrée à l'intérieur comme à l'extérieur, ce qui rend leur accès impossible pour une personne en fauteuil roulant électrique.
La journée a permis de visiter une vingtaine de nouveaux établissements (banques, restaurants, commerces de proximité, gare SNCF, hôtels, ...) qui n'étaient pas référencés.
La sensibilisation : un objectif majeur.
« L'accueil par les commerçants a été très amical, ils sont souvent confrontés à l'infrastructure du magasin et de la voirie, surtout dans le secteur sauvegardé de cahors » confie Bernard Q., bénévole à l'APF et à jaccede.com. « Ils ont la volonté de recevoir de nombreux clients, mais ne savent pas toujours comment s'y prendre pour aménager leur commerce dans les normes ».
L'important est que le dialogue soit engagé et que des solutions naissent à la suite de notre passage.
Cette première édition de cette journée a été un franc succès.
Pour consulter les lieux référencés à cahors ou ailleurs, le site web est jaccede.com. Il est possible également de renseigner soi-même sur le site en s'inscrivant et en devenant correspondant local, avis aux amateurs !
Contact : APF du Lot : 05 65 35 73 03 , jaccede.com : 01 43 71 98 10.
Que dit la Loi ?
La loi sur l'égalité des droits et des chances du 11 février 2005 stipule que tout établissement recevant du public doit se rendre accessible d'ici le 1 er janvier 2015. Est considéré comme accessible tout bâtiment ou aménagement permettant de circuler, d'accéder aux locaux, équipements, prestations, avec la plus grande autonomie possible quelque soit le handicap.
Légendes photos : DR : APF
Une équipe de jaccede.com au travail devant le restaurant « Chez Jo ».
Bilan de la Journée Nationale de l'Accessibilité 2011
Pour consulter les adresses recensées samedi sur Jaccede.com : ici