Association à but non lucratif oeuvrant pour les droits des personnes en situation de handicap
Dans certaines épreuves des Jeux paralympiques, être compétitif implique d’être équipé de prothèses ou de fauteuils très coûteux. Les athlètes des pays moins riches se tournent vers des disciplines où l’importance des aides techniques s’avère moindre.
Tous les sprinteurs ne luttent pas à lames égales… À 10 000 € la prothèse high-tech, de nombreux athlètes amputés n’ont pas les moyens d’entrer dans la course. Ceux des pays les moins développés, notamment.
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Aller vers une Caf de poche, contenue dans un simple smartphone. Même si, aujourd’hui, trois quarts des allocataires n’ont pas accès à Internet, l’objectif est clairement affiché par la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) qui présentait, mardi 6 septembre, ses chantiers et actions innovantes pour remplir ses missions dans l’année à venir.
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Le Comité d’organisation des Jeux, à Rio, a dû tailler dans les dépenses pour faire face au manque de moyens financiers. Mais les ventes de billets, en hausse, et la couverture médiatique, record, entretiennent l’espoir d’une belle fête pour ces Jeux paralympiques.
« Jamais auparavant, en 56 ans d’histoire des Jeux paralympiques, nous n’avons été confrontés à de pareilles circonstances »,
avait reconnu Philp Craven, le président du Comité paralympique international (IPC), le 19 août.
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