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  • Cahors. Une journée pour mobiliser

    Prendre en compte le handicap est essentiel./Photo Ville de Cahors.

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    Prendre en compte le handicap est essentiel./Photo Ville de Cahors.


    Ce mardi 3 décembre, à l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées, la Ville de Cahors et ses partenaires se mobilisent pour permettre à tout un chacun de mieux appréhender toutes les formes de handicaps. Ainsi toute la journée, ateliers et stands seront à la disposition du grand public à l’Espace Congrès Clément-Marot. Entrée libre. Depuis plusieurs années, la Ville de Cahors s’est engagée dans une démarche active destinée à prendre en compte tous les handicaps dans la vie quotidienne au sein de la cité, pour les habitants comme pour les visiteurs. Pour ce faire, une élue, Noëlle Boyer, a été mobilisée et coordonne la commission accessibilité. Dans ce cadre, plusieurs projets ont été menés : une boîte aux lettres dite «drive postal» a été mise en place dans le quartier de Saint-Georges ; l’hôtel de ville a été doté d’un ascenseur, mis en service durant l’été dernier ;

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  • Cahors. «Le Téléthon, c'est l'espoir»

    Emmanuel Spirkel espère une belle fête ce week-end pour le Téléthon./Photo DDM A.L.

    l'invité de la semaine : Emmanuel Spirkel

    Emmanuel Spirkel espère une belle fête ce week-end pour le Téléthon.

    /Photo DDM A.L.


    Vendredi et samedi, de nombreuses communes du Lot seront mobilisées pour un nouveau Téléthon. Ce rendez-vous solidaire et populaire redonne chaque année de l’espoir aux malades. Une belle fête pour une bonne cause. Emmanuel Spirkel s’y investit.


    Originaire de la Nièvre, Emmanuel Spirkel est arrivé en 2006 dans le Lot. Salarié d’une société informatique à Figeac, le dynamique quadragénaire a trouvé son équilibre. Aujourd’hui même si sa myopathie progresse, il réaffirme son engagement pour le Téléthon.


    De quoi souffrez-vous exactement ?

     

    J’ai une myopathie de Becker. Ce sont les mêmes symptômes que la myopathie de Duchenne. Suite à un effort à vélo, je ne pouvais plus marcher. Je suis allé aux urgences. On ne savait pas ce que j’avais. Certains disaient que j’étais fainéant. J’ai été à l’hôpital à Paris pendant un an. On m’a annoncé la maladie quand j’avais 11 ans. Elle avait été découverte juste avant, en 1982. On m’a dit qu’à 20 ans je serais en fauteuil et que je ne pourrais plus bouger, me laver… Là c’est vrai que ça fout un coup.


    Pour voir l'article complet d'Audrey Lecomte de Ladépèche.fr cliquer ici