Ismahen Ben Mariem, diététicienne, prodigue ses conseils.
/ Photo J.-L.G.
«Mince j'ai grossi !» s'exclame-t-on souvent du haut de sa très précieuse et précise balance ou devant son beau miroir en se pinçant l'abdomen, lors de ces fameux lendemains de fêtes où il n'est, fort heureusement, pas trop tard pour prendre des bonnes résolutions.
Certes, il est plus difficile d'arrêter le sport que de le commencer. Idem pour un régime… qui rime avec déprime.
Ismahen Ben Mariem, diététicienne à Pradines, prône la méthode douce et prodigue de judicieux conseils à celles et ceux qui savent déjà que le chapon bien charpenté de Noël et le foie gras du Nouvel An peuvent peser longtemps sur l'estomac.
Pour lire la note entière deJean-Luc Garcia deLADEPECHE,
INFOGRAPHIE - En France, plus de la moitié des patients opérés rentrent chez eux dans les heures qui suivent leur passage au bloc. Un chiffre en progrès, mais pas encore à l’objectif fixé il y a six ans.
Il sera difficile de réaliser, comme le souhaite Marisol Touraine, un acte sur deux en 2016 selon cette technique.
Un patient sur deux pourra-t-il, dès 2016, se faire opérer en restant à l'hôpital moins d'une journée? C'est l'objectif fixé par Marisol Touraine, en avril 2014, dans le cadre du plan d'économies de 10 milliards d'euros dans la santé d'ici à 2017. Mais, dans un rapport publié vendredi, l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et celle des Finances (IGF) douchent cette ambition.