Des études cliniques devraient débuter bientôt pour déterminer si l’utilisation de ce médicament peut entraîner des effets indésirables chez l’homme.
Une protéine serait capable de réparer les fibres nerveuses endommagées en cas de lésion de la moelle épinière. Une avancée étudiée chez la souris à confirmer chez l’homme.
Chaque année en France, plus de 1 000 personnes subissent un traumatisme de la moelle épinière selon les chiffres de l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière.