Association à but non lucratif oeuvrant pour les droits des personnes en situation de handicap
Dans certaines épreuves des Jeux paralympiques, être compétitif implique d’être équipé de prothèses ou de fauteuils très coûteux. Les athlètes des pays moins riches se tournent vers des disciplines où l’importance des aides techniques s’avère moindre.
Tous les sprinteurs ne luttent pas à lames égales… À 10 000 € la prothèse high-tech, de nombreux athlètes amputés n’ont pas les moyens d’entrer dans la course. Ceux des pays les moins développés, notamment.
Pour lire la note entière de Franck Seuret de Faire Face,
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Jeux Olympiques - L'invité de la semaine : Jonathan Hivernat
La rage de vaincre de Jonathan Hivernat n'est pas une légende. Elle le transcende et il la transmet.
Le Figeacois Jonathan Hivernat, capitaine de l'équipe de France de rugby fauteuil (appelé aussi quad rugby), participe aux Jeux paralympiques de Rio. Son handicap est, pour lui, un moteur qui décuple ses forces et sa rage de vaincre.
Handicapé. Ce n'est qu'un mot pour Jonathan. Pas une façon d'être et surtout pas une fatalité sur laquelle il veut que l'on s'apitoie. C'est d'abord, finalement, un moyen de démontrer toute la force de son mental qui lui permet de soulever des montagnes. C'est ce qu'il compte accomplir, en rugby fauteuil, aux Jeux paralympiques de Rio qui débutent mercredi. Interview…
Comment le sport est venu à vous et pourquoi avez-vous été encore plus vers lui lorsque le handicap a bouleversé votre vie ?
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