• La DMA présente des leviers de financements pour les ERP

    La délégation ministérielle à l'accessibilité présente des dispositifs de la Banque Populaire et du FISAC.

     

    La solution Banque Populaire

    La Banque Populaire, qui gère 41 % des ERP selon ses chiffres, s’est associé à Handibat Développement, Handidiag, I.Cert et à la Socama et propose depuis mai 2014 aux commerçants et artisans une offre technique et financière simplifiant leur mise en conformité avec la loi sur l’accessibilité des Etablissements Recevant du Public (EPR). La création de cette offre a été initiée par un double constat : un chef d’entreprise manque souvent de temps et le dossier Ad’AP, pour être bien pensé et bien mené, mérite qu’on lui en accorde.

    Banque Populaire propose donc une solution globale permettant aux commerçants ou artisans de construire un Ad’AP pertinent et de qualité, tout en économisant temps et énergie. Cette offre « clé en main » du groupe comprend :

     

     Pour lire la note entièrement d'accessibilite-universelle.apf.asso.fr,

    veuillez cliquer ici

  • Guillaume de Fonclare s’indigne après le vote de l’ordonnance accessibilité à l’Assemblée

    Guillaume de Fonclare s’indigne après le vote de l’ordonnance accessibilité à l’Assemblée

    « Citoyen diminué de corps mais pas de droits. »

     Celui qui a été directeur de l’Historial de la Grande guerre à Péronne, dans la Somme, dont Faire Face a proposé le portrait en février 2011 n 694 et plus récemment chroniqué deux ouvrages, proteste. « Qu’on invoque une certaine souplesse dans le régime des sanctions, pourquoi pas. Qu’on repousse d’une ou deux années, passe encore. Mais qu’on se donne la possibilité de faire du cas par cas pour faire au mieux des intérêts d’on ne sait qui, c’est inacceptable », martèle Guillaume de Fonclare.

     

    Pour lire la note entièrement de Valérie Di Chiappari de Faire Face,

    veuillez cliquer ici

     

    À lire sur l’Obs.fr

  • En Indre-et-Loire, un centre de vacances pour les personnes dépendantes et leur famille

     

    Tout au long de l'année, Marie et Monique prennent soin de leurs maris, handicapés suite à un AVC. Mais l'été, grâce au club de vacances des Fondettes en Indre-et-Loire, elles peuvent se reposer. Ce centre prend en charge les malades mais aussi leurs "accompagnants" afin que vacances riment avec détente pour chacun.

     

    Source : http://lci.tf1.fr/jt-13h

  • Le handicap entrave le dépistage des cancers

    Le handicap entrave le dépistage des cancers
     

    Selon l'Institut de recherche et de documentation en économie de la santé (Irdes), seulement 45 % des femmes en fauteuil roulant participent au dépistage du cancer du sein, contre 80 % dans la population totale.

     

    Cancers du col de l’utérus, du sein ou du côlon : les personnes en situation de handicap vivant à domicile se font moins dépistées que le reste de la population, souligne une étude de l’Institut de recherche et documentation en économie de la santé (Irdes).

     

    En juin 2013, le rapport Jacob dénonçait l’insuffisance des actes de prévention pour les personnes en situation de handicap. 

     

    Pour lire la note entièrement d' Aurélia Sevestre de Faire Face,

    veuillez cliquer ici

  • Malades, faites valoir vos droits

    Malades, faites valoir vos droits !

     

    Chaque jour, 66 Milllions d'Impatients fait le compte des #Malades(s) sur Twitter.

     

    Depuis le 30 juin, le site 66 Millions d’Impatients sensibilise les malades à la défense de leurs droits. Une opération menée sur Twitter jusqu’à fin juillet. Le Collectif interassociatif sur la santé (CISS) vient de lancer, via son site 66 Millions d’Impatients, une campagne de sensibilisation sur Twitter concernant les droits des malades. Une opération baptisée « Chaque malade a des droits de #Malade(s) ! »

    Depuis le 30 juin, et pendant un mois, le site 66 Millions d’Impatients comptabilise chaque jour le nombre de hashtag #Malade(s) qui défilent sur la toile. À partir de son compte Twitter @66MImpatients, il répond à un certain nombre de tweets en interpellant leurs auteurs afin de les informer et les sensibiliser sur leurs droits d’usagers.

     

     Pour lire la note entièrement de Johanna Amselem de Faire Face,

    veuillez cliquer ici